C'EST LA PATRONNE

'Allons vous préparer.'

Un craquement de plastique et une huile fraîche se répandent entre mes joues. Je sursaute alors qu'elle taquine mon trou du cul avec un doigt, traçant l'entrée par des mouvements circulaires réguliers. La pointe pique, pousse, puis se glisse à l'intérieur. Instinctivement, je serre fort et elle rit.

"Serré petit cul sur toi, bébé."

'Ouais.' Je jette un coup d'œil par-dessus mon épaule, rencontrant sa beauté souriante. Dieu, elle est divinement attirante, même échevelée. Pourtant, la moitié de sa robe reste. 'Pourquoi n'êtes-vous pas nu?'

Irina glisse son doigt à l'intérieur, jusqu'à l'articulation. La pointe atteint un certain endroit réactif et le frôle, provoquant un frisson en moi. « Dans le temps, chérie, dans le temps. Je ne voudrais pas gâcher la surprise.

Oh non. 'Surprendre?'

"Oh, pas ces rumeurs." Elle roule des yeux. 'Rien de si sordide. Le mystère n'est-il pas plus chaud, Theo ? La lente révélation ?

'Pouah.' L'endroit qu'elle frappe fait palpiter à nouveau ma bite. 'Ouais. Je suppose. Que fais-tu?'

Irina glisse un deuxième doigt et gratte cet endroit. 'Je joue avec ta prostate. Vous vous détendez, mais les doigts ne sont pas assez longs. Elle rit. "Peut-être que la prochaine fois, nous essaierons un jouet."

'La prochaine fois?'

« Eh bien, si vous voulez me revoir. En privé, c'est-à-dire.

'Ouais. Je le fais. J'ai... euh. Jésus. Je voulais ça depuis qu'on s'est rencontrés.

Elle lève les yeux vers moi. 'Moi aussi bébé. Moi aussi.' Un troisième doigt. 'Presque là... tu es très réceptif.'

'Pouah. Merci?'

Irina rit. 'Repose juste ta tête, mon beau. Laisse maman faire son travail.

Quelque chose dans sa voix rassurante, si belle et sensuelle, me pousse à lui obéir. Je pose ma joue sur mes avant-bras, fermant les yeux, sentant la chaleur de ses doigts alors qu'ils vont et viennent contre un endroit extrêmement agréable. Chaque coup de brosse provoque une impulsion de tension, une construction dans mes reins.